Le moteur de recherche Google, le plagiat, le spam, les droits de propriété intellectuelle, et le piratage sont des ennemis. En effet, car ils mènent à des risques potentiels de procédures juridiques. Ils peuvent, parfois érigées contre le géant de la Silicon valley. Les laissés pour compte reprochent à Google de les indexer. Mais aussi, de faire apparaitre dans les pages de ses résultats ces infractions / contrefaçons. Dans son rapport sur les titulaires de droits d’auteur, le mois de Septembre dernier, Google a aisni désindexé 21,5 millions d’URLs qu’il a reçus des titulaires de droits.
L’avis des Associations protectrices des intérêts des grands studios hollywoodiens
Selon la « Motion Picture Association of America », on peut facilement trouver des contenus contrefaits sur Google. En effet, la MPAA a informé que 82% de ces contenus proviennent directement du moteur de recherche. La MPAA a clairement affirmé que même les dernières mises à jour de l’algorithme de Google n’auront aucun impacte. Concernant, la recherche des contenus piratés. De son côté, la CCIA (Computer and Communications Industry Association) a expliqué que pour trouver ces contenus piratés, les pirates généralisent leurs mots-clés pour que les internautes y accèdent plus facilement. Pour cela, ils n’utilisent les termes torrent ou MP3 que très rarement.
Google n’est pas responsable des contenus piratés
Selon toujours la CCIA : « les solutions à la contrefaçon en ligne ont peu de relations avec la recherche ». Les études faites par l’Association ont démontré que les sites pirates génèrent 15% du trafic provenant des moteurs de recherches et moins de 8% pour The Pirate Bay. Ces recherches nous amènent donc à dire que Google n’est pas responsable (ou du moins pas le seul). Pour se défendre, le Géant de la Mountain View s’oppose à l’hypothèse que les moteurs de recherches sont les principales raisons du piratage. D’ailleurs, il est bien visible que Google déploie tant d’effort pour protéger les droits d’auteurs ainsi que leurs œuvres.