Le duplicate content fait couler beaucoup d’encre et use les touches de nos claviers à force d’écrire dessus. Au dernier SMX de Paris, c’était, comme on pouvait s’y attendre, un sujet d’actualité sur lequel experts. Mais également, intervenants ont clairement insisté sur l’originalité et la fraîcheur des pages web. Après la tempête Panda et la modification d’algorithme anti-spam Penguin, le contenu est plus que jamais au centre des stratégies de référencement. La question que chaque rédacteur/référenceur doit se poser. “Est-ce que mon contenu apporte une valeur ajoutée évidente pour les internautes ?”
Dans un registre de design web, le duplicate site est une copie évidente d’un autres site. (souvent d’un réseau tenu par une même personne). Si cette multiplication de thème (template) est répétée. Cela peut être un signal pour Google que certains sites sont liés à un même réseau. Mais pas toujours ! En recoupant le thème, les extensions, l’outil Analytics utilisé. Mais, également en vérifiant le Whois et les adresses IP. Alors, le moteur de recherche de Mountain View peut effectivement y voir des signaux évidents de constitution d’un réseau.
Un clin d’oeil au SMX 2012
Après ma particiption au SMX 2012 à Paris, je suis tombé par hasard sur un livre qui présente des similitudes visuelles assez flagrantes. Quand on regarde l’utilisation des couleurs du logo du SMX et celles utilisés par Art Sobczak pour la couverture de son livre intitulé Smart Calling, publié en 2010, on est en droit à trouver des similarités dans la trilogie de couleurs : bleu, vert, blanc. A gauche la brochure distribuée au SMX, à droite la couverture du livre Smart Calling.
Qui a copier qui ? Finalement on se pose la même question que le Googlebot qui, lui, cherche à évaluer les sites originaux et les plagieurs; avec parfois des couacs.
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