Lancé en 2012, précisément le 19 Janvier, le filtre appelé « Page Layout » permet à Google de trouver et pénaliser les pages qui proposent « trop de publicités » aux internautes, en obligeant ces derniers à défiler entièrement les publicités avant d’arriver sur le contenu réel de la page. Ce filtre a été mis à jour le 09 octobre 2012 et n’a connu, depuis, aucun update… jusqu’au 6 Février de cette année.[clear]
« Page Layout », dans quel but exactement ?
C’était sur Twitter – comme d’habitude – que Matt Cutt a annoncé la récente mise à jour de son filtre « Page Layout ». On ne sait d’ailleurs pas pourquoi préfère-t-il Twitter que Google+ pour annoncer ses nouvelles. Avant d’entrer dans les détails, rappelons-nous que ce filtre a pour but de sanctionner les pages. Du moins, celles qui comportent trop de publicités. En effet, car cela complique l’accès aux internautes sur les vrais contenus éditoriaux. Étant donné que l’objectif ultime d’un moteur de recherche est de faciliter l’utilisation d’Internet. En effet, trop de publicité pourrait ennuyer les internautes ce qui, au final, les désintéresserait.
Les pages qui ne présentent pas beaucoup de contenu. Du moins celles, au-dessus de la ligne flottaison seront, de ce fait, les premières victimes de ce filtre. Google l’a d’ailleurs bien expliqué dans ces citations :
As we’ve mentioned previously, we’ve heard complaints from users that if they click on a result and it’s difficult to find the actual content, they aren’t happy with the experience. Rather than scrolling down the page past a slew of ads, users want to see content right away. So sites that don’t have much content “above-the-fold” can be affected by this change.
La mise à jour du Page layout
Pour cette fois, Google ne donne ni chiffre ni pourcentage sur les derniers résultats du filtre, ce qui n’est pas dans ses habitudes. Beaucoup de questions se posent donc, à cet effet : est-ce que le filtre « Page Layout » n’est pas si efficace qu’il en a l’air ? Ou Google veut tout simplement garder les résultats pour une quelconque raison ? En tout cas, ce qui est clair c’est que s’il s’agit de publicité invasive, Google se trouve lui-même dans sa propre ligne de mire.